Guillaume Allemand, ornithologue de formation, exploite dans son œuvre les origines du vivant :
Il cisèle, polit et accumule des os dans des tableaux spectaculaires en relief
où vivant et non vivant se confrontent ; au blanc virginal de ses tableaux s’oppose la matière primitive osseuse.
Que le blanc connote l’invisible, l’infini ou le silence, il permet la libération totale de la surface ;
Pour le groupe Zéro, le blanc s’inscrivait dans une recherche d’exaltation de la lumière et de vibration de la surface picturale.
Pour Guillaume Allemand, cette surface composée d’os est une exaltation du vivant, d’une biologie ressuscitée :